Deborah Levy in the French Press

The translation of Deborah Levy's The Cost of Living and Things I don't Want to Know into French has become the talk of the town in the French press.

“Dans l’ombre sororale de Duras, Dickinson ou encore Virginia Woolf, qui revendiquait « une chambre à soi » pour écrire, Deborah Levy occupe discrètement un cabanon glacial au fond d’un jardin où, après les corvées quotidiennes, elle se soucie seulement de la cadence d’une phrase. Son style est vif, sensoriel, son regard aigu, combatif, il capture le grain des émotions. Elle invente avec ses mots « une protagoniste inédite » : « Le mot “je” clignotait sur l’écran, tressautait et tremblait. C’est comme ça que je me sentais, moi aussi. » Car la liberté a un prix. « L’écrit que vous ­lisez à présent, c’est le coût de la vie. »” —Camille Laurens, Le Monde

“Il en est de ces livres comme des joyaux, qu’on aimerait offrir à tous les gens qui nous sont précieux. Ce que je ne veux pas savoir et le Coût de la vie (éd. du Sous-Sol) sont de cette trempe-là. Dans ces courts ouvrages qui oscillent entre Mémoires et manifeste féministe, la Britannique Deborah Levy livre une réflexion profonde sur l’identité de femme à travers deux moments-clé de sa vie.” —Amandine Schmitt, BibliObs/ NouvelObs

“Les textes de Levy sont faits de souvenirs entrecroisés, d’anecdotes, de vignettes du quotidien, de rencontres fortuites. La poète n’est pas loin (le style est magnifique), la dramaturge non plus. La mise en scène de chaque scène est parfaite. On ne fait pas que les lire, on les voit.” —Nathalie Collard, La Presse

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